mercredi 2 décembre 2015

On parle de Mon beau sapin

Le temps est au gris, El Niño s'annonce, mais le sapin reste toujours beau! Et on dirait que pour narguer Mère Météo, les gens décorent leur(s) sapin(s) plus tôt cette année. Déjà, le soir, par les fenêtres des maisons, on peut voir des sapins de Noël illuminés! C'est tôt... mais ça réchauffe la maisonnée!
On parle de Mon beau sapin ici, sur le site de la SDM:
"Une ode tendre et poétique à un emblème de l'hiver et de la fête des petits,..."
On lui donne le plus haut indice de valeur/utilité, soit 5 (très recommandé).

Sur le site J'enseigne avec la littérature jeunesse...
"Un album à structure récurrente qui nous interpelle, que l’on a envie de lire et de relire. Des illustrations magnifiques, collaborant avec les mots."
  
Et Marie Fradette en a parlé ici, dans Le Devoir du 2 décembre:
"La simplicité et la beauté des vers se lient au trait tendre et léché d’Anik Gagnon dans lequel le détail invite aussi à la poésie."

Et Les p'tits mots-dits l'ont choisi dans leur sélection de Noël. Voir sur Instagram

jeudi 12 novembre 2015

Au Salon du livre de Montréal 2015

Venez me rencontrer au Salon du livre de Montréal! Voici mes heures de présence aux stands des Éditions de l'Isatis (stand 564) et de Ma bulle (stand 659) :

Jeudi 19 novembre
10 h à 11 h       Mon beau sapin, chez Isatis
13 h à 14 h 30  Mamie, papi et Dafné, chez Ma bulle

Samedi 21 novembre
11 h à 12 h       Mamie, papi et Dafné, chez Ma bulle
14 h à 15 h       Mon beau sapin, chez Isatis
15 h à 16 h 30  Mamie, papi et Dafné, chez Ma bulle

Dimanche 22 novembre
12 h à 13 h       Mamie, papi et Dafné, chez Ma bulle
15 h à 16 h       Mamie, papi et Dafné, chez Ma bulle

jeudi 5 novembre 2015

Vous connaissez le roi des forêts?

Bien sûr que vous connaissez le roi des forêts: le sapin!
Voici ma deuxième nouveauté de l'automne: Mon beau sapin, publié aux Éditions de l'Isatis, dans la collection Clin d’œil. Cet album à couverture cartonnée est brillamment illustré par Anik Gagnon.

Il est maintenant disponible en librairie et en version numérique.
Un extrait:
Un sapin c'est...
"La promesse d'un parfum de saison dans la maison"

mardi 20 octobre 2015

Un beau dimanche après-midi

Il y avait Nathalie, une libraire passionnée qui adore les peluches.
Il y avait Diane et Philippe, non moins passionnés et formidables éditeurs.
Il y avait la talentueuse Julie Cossette, L'illustratrice avec un grand L de la collection Dafné et les Doudoux.
Il y avait l'excellente Katia Canciani, qui a écrit Courage, Dafné!, l'autre album lancé en même temps que Mamie, papi et Dafné.
Il y avait la dynamique Annie Lalonde qui rédige les fiches d'activités de la collection.
Il y avait des bulles (c'est la maison d'édition Ma bulle, après tout!), un tirage, les peluches Doudoux et beaucoup de fébrilité.
Il y avait surtout les amis, la parenté, les gens qui avaient répondu à l'invitation, le petit Julien qui dormait dans sa poussette jusqu'au moment où Katia et moi avons commencé à lire...
C'était un beau dimanche après-midi à la librairie Alire!
Avec Clafoutis et Moka - Photo de Philippe Barey

Photo de Philippe Barey

jeudi 8 octobre 2015

Lancement à la librairie Alire

Je vous invite au lancement de Mamie, papi et Dafné  à la librairie Alire, dimanche le 18 octobre à 13h30. Amenez vos enfants, petits-enfants, neveux, nièces, petits-cousins, petites-cousines! Ce sera la fête!

mercredi 30 septembre 2015

Mamie, papi et Dafné

Mamie, papi et Dafné est maintenant en librairie!

Une histoire pour les tout-petits, dès 2 ans et demi. C'est un superbe album à couverture coussinée, publié chez Ma bulle et illustré par Julie Cossette, l'illustratrice de la charmante collection Dafné et les Doudoux. Julie trace et colore des scènes de vie avec beaucoup de finesse et de tendresse.

Le résumé:
Avec ses grands-parents, Dafné fait mille et une choses qu’elle aime.
Au retour à la maison, pas facile de retrouver la routine de papa et maman.
Grâce aux Doudoux, Dafné comprend que parents et grands-parents
ont des rôles différents… et qu’elle peut toujours compter sur mamie et
papi pour passer du bon temps!

Mamie, papi, grand-papa, grand-maman... C'est chouette, les grands-parents!

Merci à Diane Primeau, éditrice et créatrice de la collection, de m'avoir offert cette belle occasion de parler de la relation grands-parents/petits-enfants.

Il y aura un lancement dont je vous reparle bientôt!

jeudi 24 septembre 2015

Bientôt en librairie

Deux chouettes albums cartonnés seront bientôt disponibles en librairie:

   

Mon beau sapin, illustré par Anik Gagnon et publié aux Éditions de l'Isatis.
Mamie, papi et Dafné, illustré par Julie Cossette et publié chez Ma bulle.
J'en reparle très bientôt.

mardi 11 août 2015

Le 12 août, j'achète un livre québécois!

C'est demain! Participez à la deuxième année de l'événement Le 12 août, j'achète un livre québécois! Allez bouquiner dans votre librairie indépendante préférée ou achetez en ligne sur un des sites québécois tels que Les libraires.


mardi 9 juin 2015

À l'Île-du-Prince-Édouard, une communauté francophone engagée

La semaine dernière, j'ai participé à une tournée littéraire dans les écoles francophones de l'Île-du-Prince-Édouard. Cette tournée a été rendue possible grâce à l'initiative des bibliothèques publiques de l'Île-du-Prince-Édouard, de la Commission scolaire de la langue française et du Conseil des arts du Canada. C'est Lori MacAdam, coordinatrice des services de bibliothèque en français, qui était la maître d'oeuvre de cette tournée. Je la remercie encore pour cette belle occasion et pour tout le support qu'elle m'a apportée tout au long de la semaine. 

Allez lire l'historique des écoles francophones sur l'île ici. Des 60 écoles pour les Acadiens dans la première moitié du XXe siècle à l'Île-du-Prince-Édouard, il n'en restait qu'une à la fin des années 1970. Une seule! Il y en a maintenant six, réparties sur le territoire de l'île. Vous imaginez ce qu'il a fallu de détermination pour remonter la pente et ajouter ces cinq écoles? Pour sauvegarder la langue française là-bas? Pour faire passer la Loi sur les services en français en 2013?

Parce que les francophones de l'île tiennent non seulement à assurer une éducation en français à leurs enfants, mais aussi à leur fournir un espace culturel en français. Depuis deux ans, une équipe de gens du Ministère de l'éducation et de la petite enfance, de la Commission scolaire francophone, des bibliothèques publiques, entre autres, organisent un salon du livre uniquement francophone. Dans le cadre de ce salon, de nombreuses animations sont organisées, particulièrement auprès de la clientèle scolaire: écoles francophones et écoles en immersion.

Du 4 au 7 juin s'est donc tenu le 2e Salon du livre de l'Î.-P.-É. De nombreux bénévoles ont fait en sorte qu'un tel salon du livre puisse accueillir de nombreux auteurs du Québec. Ils ont assuré notre transport, notre confort et nous ont font sentir, chacun de nous, importants. Quel plaisir de discuter avec eux le temps d'un trajet en voiture! Un Québécois qui a suivi son amoureuse à l'île, un natif de la Nouvelle-Écosse ou du Nouveau-Brunswick qui est venu s'établir à l'île pour son travail, une native de l'île qui y vit toujours avec son mari Français. Des gens dont la ferveur à préserver le français dans les Maritimes est admirable. Merci à Diane, Gloria, Hervé, Jean (prononcer "Gene"), Denis, Aline, Josée, et tant d'autres - j'aimerais me souvenir de tous les noms!  

Au cours de mon séjour là-bas, j'ai eu l'impression que les francophones étaient partout. Pourtant, ils ne sont pas si nombreux. Des 138 435 habitants de l'île en 2011, 5 195 étaient de langue française (langue maternelle et langue parlée le plus souvent à la maison), soit 3,8 % de la population totale de cette province. Voir ici les données du recensement de 2011. 

Pendant cette semaine, entre deux rencontres scolaires ou deux séances de signature, nous les auteurs avions parfois le temps de profiter la beauté de l'île, de son air salin apaisant, de ses mets délicieux, de rencontres inoubliables. Et comme pour ma part j'ai parcouru plusieurs régions de l'île et que j'aime prendre des photos, en voici un aperçu:

Admirer la cour d'une école
La cour de l'école Saint-Augustin, à Rustico


Entre deux écoles:
Visiter une usine de laine - MacAusland's Woollen Mills - où on reçoit la laine à peine tondue, l'odeur en est témoin... On y fabrique des couvertures, des bas, des mitaines et des... balles de laine.
Capter une oie en plein vol (dans le bas de la photo)

Faire une promenade à North Rustico grâce à ma charmante accompagnatrice, Lori MacAdam

Faire une ballade dans Charlottetown en fin de journée
 
Les feuilles des arbres à peine ouvertes
 S'emplir la vue des tulipes toutes écloses. L'impression d'avoir eu deux printemps cette année.
Manger du homard

Manger du homard en excellente compagnie
Le reste ne se raconte pas. Il se vit. Comme l'a si bien dit Simon de Jocas, éditeur aux 400 coups: "Ce qui se passe à l'île reste à l'île."
Longue vie au Salon du livre de l'Île-du-Prince-Édouard. Longue vie à notre belle langue française, défendue avec ardeur par des communautés engagées.

dimanche 26 avril 2015

Et on fait quoi avec les bibliothèques scolaires?

La semaine dernière, j'ai rencontré les élèves d'une école primaire en Montérégie. Une belle école, une belle équipe, des élèves qui avaient lu mes livres et qui avaient même fait des dessins et des affiches en préparation de ma visite. Un contexte idéal pour des rencontres réussies.

Dans cette école, c'est l'orthopédagogue qui tient la bibliothèque à bout de bras. Elle doit bien avoir autre chose à faire, cette professionnelle qui a étudié pour devenir orthopédagogue et non bibliothécaire. Oui, oui, son travail comme orthopédagogue l'occupe à plein temps. Mais elle assume en plus le maintien de la bibliothèque. Par dévouement ou passion, allez donc savoir ce qui anime ces gens qui en font toujours plus. Les enfants viennent l'aider, parfois. Les enseignants enregistrent les prêts de livres de leurs élèves (eux aussi n'ont rien d'autre à faire... par exemple, conseiller leurs élèves dans leurs choix de lecture). Bon, après tout, elle réussit à rouler, cette bibliothèque! De quoi se plaint-on? Surtout que plus personne ne s'offusque du fait que les bibliothèques scolaires sont dépourvues de bibliothécaires (lire: une personne formée pour acheter les livres, les classer, pour aider les élèves, organiser des activités autour des livres, faire la promotion de la lecture, etc.).

Ce que cette orthopédagogue m'a dit, c'est que l'école a un budget chaque année pour l'achat de nouveaux livres. Merveilleux, criera-t-on! Cette anecdote manque de suspense, de drame ou de grands blessés, me direz-vous. C'est ici que le punch arrive... Personne à la commission scolaire ou au ministère de l'Éducation ou je ne sais où n'a pensé à prévoir un budget pour protéger les livres, pour les recouvrir, pour les renforcer, pour leur permettre une durée de vie raisonnable. Alors au bout d'un an, assaillis par des centaines de petites mains, les livres sont usés, détériorés, souvent inutilisables.
Cherchez l'erreur.

Mais rassurez-vous, personne n'en meurt. Et la bêtise survit très bien, madame la Marquise.

lundi 2 février 2015

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